VIDEO | Réunion régulière | mercredi 10 novembre, 20h30 |
PHOTO | Réunion spéciale : sélection des photos du Salon |
mardi 2 novembre, 20h30 |
Réunion photo régulière | mardi 9 novembre, 20h30 | |
Réunion numérique régulière | mardi 23 novembre, 20h30 | |
FORMATIONS | Initiation à la photographie | 6-7 novembre, à partir de 9h |
Formation à Bridge | samedi 20 novembre 9–18h | |
Formation à Camera Raw | samedi 4 décembre 9–18h | |
Et n'oubliez pas le montage du Salon qui commencera le mardi 30 novembre |
Le mobile réalisé par Michèle Ferrand-Lafaye en collaboration avec Denis Delauné («agitateur de jardin») et Oliver Crasset (ferronnier d'art), déjà présenté le mois dernier à Florescence à Lannion, sera visible au château de Kergrist jusqu'à fin novembre.
Michèle Ferrand-Lafaye expose à la galerie «LIGNE DE LEGENDE» (21 rue du Gl de Gaulle, 29540 Spézet) du 27 novembre au 12 décembre 2010, à l'occasion de la sortie du livre d'artiste Courseurs de cumulus, (poèmes d’Alain Gégou et images de Michèle). Toutes les informations utiles et le carton d'invitation sont en ligne à www.ligne-de-legende.net
Bernard Moreau, alias Thanes, à l'occasion de la manifestation Insolites Mondes d'Artistes, vous propose de venir admirer l'expo Aspects de la photographie plasticienne en Bretagne, dans laquelle vous découvrirez quatre auteurs en plus de ses propres œuvres. Galerie TY ART SHOW à La Clarté (22700 Perros-Guirec) les 30 et 31 octobre 2010 de 10 à 19 heures.
Charles Vassallo va installer ses Petites fortunes de route dans la salle de repos du Centre courrier de La Poste pour les mois de novembre et décembre.
Dix photos de huit d'entre nous ont été retenues lors du concours «Météo» organisé par nos amis allemands d'Offenbach ; cinq autres clubs européens participaient à la compétition. L'expo (40 photos au total) sera présentée à Offenbach, au Siège Social du Service Météo allemand, avec force publicité.
Le club d'Offenbach a invité le club à participer à une exposition Rencontre avec plusieurs clubs européens. Dix d'entre nous avons envoyé des photos montées en 50x60 sur le thème du vent. Cette exposition sera présentée pendant 4 semaines dans le hall d'exposition de Hyundai Europe à Offenbach ; le vernissage aura lieu le 30 novembre.
Au départ, Daniel Collobert n'avait pas pensé inviter tout le club à ce vernissage. Il y a eu erreur d'aiguillage, en quelque sorte. Il faut savoir que notre bon président, dans une vie parallèle, s'occupe d'une autre association qui essaie de donner un coup de pouce à de jeunes artistes par le biais d'expositions. Là, il s'agissait plutôt d'art plastique, dénomination fourre-tout plutôt vague en soi, mais comme ça tournait autour de photographies l'invitation au club pouvait se comprendre. Et puis le coup était parti... Aussi, ça ne pouvait pas faire de mal que nos adhérents se confrontent à un peu de ce qui se fait aujourd'hui à côté de la photo.
Delphine Ciavaldini, costumière et scénographe de théâtre, et Zoé Forget, photographe plasticienne, à côté de Daniel Collobert
Au départ, ces deux artistes prenaient des photos d'installations autour d'un modèle, avec différents accessoires et surtout des «vêtements» éphémères créés de toute pièce pour l'occasion. L'installation était ensuite démontée et ne restaient que les photos. Daniel et ses amis ont convaincu les deux artistes de monter une exposition où on verrait les images ainsi produites à côté de différents éléments de ces installations, et notamment ces fameux vêtements.
En dépit d'un temps exécrable, une bonne
dizaine d'entre nous sommes venus.
Ici, Daniel Gardan et Dany Jerphagnon sont accueillis par Daniel Collobert
et sa femme
Une vue de l'exposition avec quelques uns des vêtements éphémères. Beaucoup de monde au vernissage, mais très sage ; les interdictions de ne pas franchir les lignes rouges et de ne rien toucher ont bien été respectées.
C'était la 3ème fois que nous organisions ce stage pour le compte d'Objectif Image national, après les éditions de 2008 et de 2009. C'est un stage de manipulation pratique de Photoshop sur des images N&B, généralement bien apprécié des participants. Cliquez sur les liens précédents et vous verrez que fort peu de choses ont changé par rapport aux éditions précédentes ; c'est maintenant une affaire bien rodée.
Evidemment, les stagiaires ne sont pas les mêmes ; quatre membres du club figuraient parmi
eux cette année.
On voit ici la belle barbe de Daniel Mell (notre barde
chantant),
à gauche de Pierre Le
Cabec expliquant qu'il appartient au photographe d'imposer son
interprétation personnelle à l'image qu'il vient de prendre.
Sur le plan matériel, quasiment tout le monde a maintenant un portable. Ce n'est pas le pied pour faire du travail réel, mais c'est vraiment pratique pour les formations.
Les animateurs, eux, n'ont pas changé. Ici, Daniel Collobert donne un coup de main à une stagiaire ; Jean-Claude Menez au 3ème rang.
Encore Daniel, cette fois au secours de Jeanne Rivoallan. Derrière, Pierre Le Cabec et un autre stagiaire.
Jeanne Rivoallan à nouveau, à côté de Daniel
Gardan, notre 4ème stagiaire, en admiration devant le superbe tirage
d'un autre des participants.
Nous avons tiré les images des stagiaires en «fine art»
à la fois sur papier mat et sur papier baryté et nous avons
pu constater qu'il était souvent difficile de choisir entre les
deux.
Il y a des jours où le sort s'acharne contre vous. Alain Marie avait
prévu cette soirée pour nous convaincre de tous les
mérites de Flick'r. Il savait que nous étions
déjà plutôt réticents, et voilà, en
arrivant, nous n'apparaissions nulle part sur le tableau de
réservation des salles. Bon, il y avait bien une inscription
«Salle 202, AOT» et les
premiers arrivés ont pensé que notre abréviation
(AOIT, pour Association Objectif Image Trégor) avait
été estropiée ; c'est déjà
arrivé. Mais à peine commençaient-ils à mettre
tables et chaises à leur goût que des têtes inconnues
survenaient, qui s'étonnaient de
notre présence et qui se réclamaient de l'Asso Ornithologique du
Trégor (a-t-on idée, n'est-ce pas?), et pire encore, la gardienne
du centre suivait et
nous passait un savon, que nous n'avions rien réservé du tout
et que ce n'était pas bien du tout de piquer la salle des autres.
Ouille !
On s'est fait tout petits et on a demandé s'il ne restait pas une
petite salle de libre. Pour une quinzaine de personnes. La 252 était
disponible.
Va pour la 252 ! Alain Marie (au centre) tâte la liaison Internet ; tout
autour, Jacqueline Polloni, Gérard Dupont, Jean-Yves Le Pennec, Liliane
Rizzoni, Louis Dupré et Claude Rougerie (au premier plan) prennent nos
aventures de
bonne humeur.
Mais d'autres membres du club arrivent, alléchés par le programme d'Alain et nous voilà plus de quinze. Nous pourrions nous tasser, mais voilà, le règlement de sécurité du Centre interdit de bourrer autant de monde dans cette salle ; et on ne badine pas avec la sécurité. Catastrophe, nous revoilà à la rue ! Mais heureusement, notre président Daniel Collobert et sa diplomatie naturelle sont arrivés, la gardienne se laisse fléchir et nous ouvre les portes, non pas du paradis, mais de la salle de conférences.
Sauvés ! Chaleur, confort... On ne peut pas tout avoir, la
liaison internet était moins bonne, mais Alain a pu commencer.
Alain n'est toutefois pas au bout de ses peines. Les réticences des uns
et de autres, enfin, de certains autres, ne sont pas apaisées et
les membres du club ne vont pas adopter Flick'r comme un seul homme.
(à suivre !)
(Nota bene : sur un tout autre plan, nous avons retenu la leçon et pris des mesures pour resserrer notre procédure de réservation des salles)
Encore une opération qui ne s'est pas déroulée comme nous l'espérions. On trouve à Servel un chemin de croix très particulier sous la forme de sept statues de bois placées dehors à (presque) tous les vents, dans sept niches différentes tout autour de l'église. Ces niches sont fermées par des grilles métalliques qui n'ont peut-être pas toujours été là mais qui sont sans doute indispensables pour convaincre les statues de rester sagement en place... et qui sont bien gênantes pour les photographes.
Mais la question n'est pas là. Ces statues ont à peu près 350 ans et elles ont toujours été dehors. Certes, cela démontre bien la salubrité du climat breton, mais tout de même ! A plusieurs reprises, les fidèles ont éprouvé le besoin de les repeindre et cela n'a pas toujours été fait dans les règles de l'art qui aurait convenu. Bref, il était grand temps de les envoyer dans un atelier de restauration bien équipé et c'est là que nous intervenions : nous avons essayé d'assister aux opérations de sortie des statues et de leur départ en ambulance — ou de ce qui en tient lieu pour des statues tri-séculaires. Raté !
Michèle Ferrand-Lafaye en avait longuement discuté avec les
restaurateurs, ceux-ci devaient procéder à cet
enlèvement pour la matinée du mercredi 20 octobre, à
partir de 9 heures. Nous nous sommes donc retrouvés sous le porche
de l'église, un peu inquiets du non respect du planning, car les
travaux avaient pris de l'avance et que la moitié des statues
étaient déjà parties. Nous attendons...
A partir de la gauche, Jean Le Rouzic (venu faire un peu de vidéo), Gaëlle
Lozahic, Catherine Vaillant, Louis Dupré et Michèle.
Personne ne venant, nous nous replions sur le café d'à
côté, nettement plus chaleureux, et nous papotons photo.
Louis Dupré (à gauche), Frédéric Le
Chevanton, Cathy Lecerf, Gaëlle Lozahic, Catherine Vaillant, Alain
Marie
De guerre lasse, nous revenons dans l'église voir ce que nous
pouvons faire. D'accord, il y a des vitraux pleins de couleur,
mais ensuite ?
Fort opportunément, M. Soufflet, président de l'association de sauvegarde du chemin de croix, arrive. Il nous explique les particularités de l'église et nous invite à travailler dessus ; on ne se le fait pas dire deux fois.
Il nous apporte même un escabeau afin de nous mettre à
niveau avec un christ absolument remarquable que nous n'aurions
peut-être pas remarqué, profanes que nous sommes,
englués dans la pénombre générale et
éblouis par le vitrail juste au-dessus.
(en échange de bons procédés, nous lui avons promis de
lui retourner nos images)
La visite se poursuit dehors.
Dany Jerphagnon à gauche, M. Soufflet, Cathy Lecerf, Daniel
Collobert et Louis Dupré
M. Soufflet nous a fait ouvrir les grilles et nous pouvons enfin travailler à bout portant.
Michèle scrute le passage des siècles.
Pendant ce temps, l'un des restaurateurs est arrivé. Il se met au boulot sur l'une des statues... et nous tous de jouer les mouches autour d'un pot de confiture.
Bah ! Nous n'avons pas eu ce que nous étions venus chercher, mais nous n'avons pas perdu notre temps pour autant. Et nous terminons par une bonne crise de fou rire quand vient le moment pour Dany de replier le grand réflecteur du studio...