Attention, les informations ci-dessous peuvent encore changer avec la prochaine parution du MOIT (prévue pour les premiers jours d'octobre)
10-11 octobre : stage national Objectif Image sur le travail des images numériques noir et blanc (le labo numérique sera réquisitionné les deux jours) |
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17-18 octobre : stage (interne) d'initiation à la photographie | ||
VIDEO | Réunion régulière | mercredi 14 octobre, 20h30 |
PHOTO | Réunion spéciale autour des photos du club d'Offenbach | mardi 6 octobre, 20h30 |
Réunion photo régulière | mardi 13 octobre, 20h30 | |
Réunion numérique
régulière
(attention au changement de date) |
mardi 20 octobre, 20h30 | |
Sélection des photos pour l'exposition annuelle | mardi 27 octobre, 20h30 |
Emmanuel Smague expose Le soleil dans les yeux au Carré d'Art à Chartres de Bretagne, du 22 septembre au 29 octobre. Sur le même sujet, Emmanuel publie un livre Kurdes, de l'ombre à la lumière aux Editions de Juillet. On peut commander par internet.
Francis Goeller, Claude Henry, Michèle Ferrand-Lafaye, Pierre Le Cabec et Charles Vassallo ont été invités au Salon organisé par le club Objectif Image de Dijon au Palais des Ducs et Etats de Bourgogne, en tant qu'auteurs primés dans les Salons d'Auteur nationaux d'Objectif Image. Expo ouverte du 30 septembre au 13 octobre (tlj, 10h-18h30)
Jean-Michel Le Madec, tout juste inscrit au club, expose dans la base aéronavale de Landivisiau (Salle de détente, espace Albatros) à partir du 2 octobre. Pas facile d'y accéder, bien sûr, mais on ne rentre pas non plus comme ça à la cafét' de FTR&D ou au Centre Courrier...
Charles Vassallo expose ses Fleurs en flou au Centre Courrier de Lannion depuis le 26 août.
Henri Jacq présente Visions sous-marines en Bretagne au restaurant-pizzéria Bro-Dispar, à l'Armor-Plebian, pendant toute la saison estivale.
Il ne faut pas croire que le Forum des Assos soit une petite corvée
annuelle à laquelle le club serait tenu de se plier, à la suite de
quelque contrat implicite avec la Ville.
En fait, c'est
l'un des temps forts de la vie du club, car c'est par ce canal que nous
recrutons la plus grande partie de nos adhérents.
Notre stand est quelque part dans cette vue générale de
la salle des Ursulines,
une ancienne salle de sport bien sonore dans laquelle les assos de
musique et de danse (on en devine une tout au fond sur l'estrade)
font des démonstrations assourdissantes.
Drôle d'idée que de scotcher notre panonceau à la
table, n'est-ce-pas ? D'ordinaire,
nous le mettons tout en haut afin qu'on le repère de loin, mais ce
n'était pas possible avec les panneaux de cette année. Mais
bon, nous l'avions apporté, il fallait bien le mettre quelque part.
Bah ! Ça n'a pas empêché les visiteurs de nous trouver.
Daniel Collobert et Jean-Dominique Gauthier, le barbu et le peu
chevelu, s'occupent des premiers visiteurs juste après
l'installation. Eh ! C'est parfois un réel plaisir...
Philippe Printant et Charles Vassallo
Pierre Le Lecabec, Claude Rougerie et Jean Le Rouzic. Beaucoup de
visiteurs étaient intéressés par l'initiation que
Claude va remettre en route.
Jean Le Rouzic était spécialement venu vanter les mérites de la
vidéo
Dans les moments de grande affluence, nous n'étions pas trop de
trois ou quatre pour faire face. Cela a été une grande
satisfaction de voir que beaucoup de membres sont venus donner un coup de
main sans qu'il ait été besoin d'organiser des tours de
permanence : un grand merci à tous ceux qui se sont déplacés.
Tout le monde sur le pont ! Jean le Corvec et Yvette Le Faou derrière le bureau ; Pierre au
centre (chemise verte) ; Charles et sa crinière blanche sur la droite
Le problème avec cette réunion est que nous invitons tous nos
visiteurs du Forum à y participer pour voir combien c'est sympa de
venir chez nous, et que ça nous amène beaucoup de monde quand nous
avons été bien persuasifs,
beaucoup de gens qui ne savent pas
trop où se fourrer dans cette réunion où ils ne
connaissent évidemment personne. Il faut donc préparer leur
accueil. Nous avions été assez légers sur ce point l'année
dernière et nous avions à cœur de mieux nous
débrouiller cette année.
Le joyeux désordre à l'arrivée, d'autant que c'est
la réunion de rentrée après l'interruption des
vacances. Nous sommes deux ou trois à intercepter les nouvelles
têtes et à leur expliquer ce qui se passe...
...puis à les emmener visiter nos installations. Ici, Daniel
Collobert (à gauche), Claude Rougerie (au centre) et Katherine Carabin
(tout à droite) font visiter le labo numérique.
A droite de Daniel, Julie Médiane va adhérer.
Pendant ce temps, notre infatigable doyen Roger Nédélec
étale les tirages qu'il a faits pendant les vacances.
Roger sur la gauche, Yves Candelier (tout au fond), puis Louis
Dupré et Jean Le Corvec.
La réunion devient plus simple à gérer dans sa deuxième partie, quand tout le monde est assis pour assister aux projections. Ici, une petite émotion pour les animateurs, quand nous avons demandé qui était intéressé par le stage d'initiation à la photo que nous allons faire en mi octobre... Beaucoup de mains levées ! Mais bon, nous allons assumer.
Pour terminer, il fallait bien un petit panoramique pour faire entrer tout le monde dans l'image — une quarantaine en comptant eux qui se sont cachés derrière le poteau (et moi, qui appuyais sur le bouton).
Michèle Ferrand-Lafaye a été invitée à la cinquième édition de l’exposition collective " Accalmie " qui se tient tous les ans à cette époque à Loguivy-de-la-Mer. Il y avait des peintres, des sculpteurs, graveurs, calligraphes et, donc, une photographe. Le journal «Le Télégramme» fera un bon résumé de son travail : des procédés anciens à l'usage numérique, Michèle Ferrand, cinéaste, explore les images de l'imaginaire".
En effet Michèle avait mis en oeuvre un procédé
ancien, «l'argyrotype» sur sa série Bruissements
d'aile. Elle avait découvert ce procédé
au cours
d'un stage organisé par notre Union Objectif Image,
mais son application pratique à un travail réel lui a donné
pas mal de fil à retordre,
tant au labo argentique qu’au labo numérique. Oui, numérique,
car même les procédés anciens ne sont plus ce qu'ils étaient — Michèle vous
expliquera bientôt jusqu'où le numérique va se nicher.
Michèle avec Claude Henry, du club, et sa femme Chantal. Claude exposait dans ces
lieux l’année dernière.
Notre héroïne du jour